Wishlist de Noel pour homme : ma sélection 2025

Vous la sentez, cette douce atmosphère qui commence à envahir les rues et les cœurs ? Un peu comme une odeur de vin chaud qui flotte dans l’air, et qui chatouille nos envies de convivialité, de partage… et de jolis papiers cadeaux. Certes, j’en fais peut-être un peu trop — mais une chose est certaine : la période des fêtes arrive à grands pas. Pendant que certains ont déjà bouclé leur liste de cadeaux (oui, on en connaît tous un), d’autres en sont encore à hésiter entre un calendrier de l’avent gourmand ou sur le thème Harry Potter. Deux signaux qui, pour moi, veulent dire une seule chose : il est grand temps de me pencher sérieusement sur ma Wishlist de Noel.

Considérez donc cet article comme un discret « à bon entendeur »… ou plutôt un « à bon lecteur », si vous voyez ce que je veux dire. Et si cette petite sélection peut aussi vous inspirer pour vos propres cadeaux – à offrir, à s’offrir…alors ce sera avec plaisir. Cette année, entre art, cuisine, décoration et mode, ma liste est un joyeux mélange d’élégance, de gourmandise et de petites audaces bien qui font pétiller le quotidien. À mettre sous le sapin, dans un pochon ou dans un joli sac : voici ma sélection.

Une cave à vin pour savourer les bonnes bouteilles… à leur juste température

Alors attention, je ne prétends pas avoir un palais d’œnologue, mais le plaisir du vin, chez moi, c’est une histoire qui dure et surtout qui mûrit. Avec les années, et l’aide de mon caviste préféré, je me surprends à mieux sentir les arômes, à patienter un peu avant d’ouvrir une bouteille, à oser laisser reposer un blanc juste ce qu’il faut avant le dîner. Bref, j’affine.

Et aujourd’hui, il me manque encore un petit chaînon pour profiter pleinement de certaines cuvées : une cave à vin. Pas celle des grands crus classés, non, mais une cave de service bien pensée, compacte, fonctionnelle, et – si possible – avec un joli design qui la rendrait aussi agréable à regarder qu’à utiliser. J’adore celle présente sur le site create-store.

Il faut dire que l’envie a été ravivée par ma redécouverte de la série Les Gouttes de Dieu, cette adaptation du manga éponyme. Un bijou qui m’a donné envie de continuer d’apprendre, de déguster, de transmettre. (Et de rêver, qui sait, de voir un jour ma fille devenir sommelière ou œnologue.)

En attendant, je me prends à imaginer cette petite cave installée dans mon salon ou dans mon arrière-cuisine, bien à l’abri des coups de chaud. Douze bouteilles bien choisies, entre rouges de caractère, blancs minéraux et bulles joyeuses… Prêtes à accompagner un bon plateau de fromages ou une soirée “Netflix & wine”.

Une borne arcade rétro pour faire revivre mes après-midis d’ado

Dans ma jeunesse, j’ai passé de très très nombreuses heures à enchaîner les parties dans des salles d’arcade. Galaga, Daytona, Windjammers, Ghosts’n Goblins, Final Fight, Puzzle Bobble… Que de souvenirs, le bruit des boutons, les couleurs flashy, les cris de victoire (ou de défaite) et cette petite fierté de poser sa pièce sur le bord de la borne pour annoncer qu’on était le prochain.

Aujourd’hui, j’ai grandi (enfin, un peu je crois), mais l’idée d’avoir une borne arcade rétro à la maison me fait toujours autant rêver. Pas pour devenir champion du monde de Street Fighter, non… mais pour revivre ces moments de jeu simples, avec leur esthétique pixelisée et leur bande-son 8-bit dans les oreilles.

Alors Père Noël, si tu as la possibilité de glisser un modèle de chez Retro Arcade au pied du sapin – ou de m’envoyer l’équivalent en budget cadeau – je suis preneur. Non non ne t’inquiètes pas j’ai la place dans mon T6, il y a même un coin “retrogaming” qui n’attend que ça.

Le livre de cuisine Peaky Blinders : pour prolonger l’univers de la série jusqu’à table

Depuis que les derniers épisodes de la série ont tiré leur révérence, Thomas et Arthur Shelby me manquent tout autant que leur univers. Un verre de whisky sec au Garrison, une ambiance enfumée, des éclats de voix… Je suis actuellement en train de combler ce « vide » avec House of Guinness mais si je suis parfaitement honnête ce n’est pas suffisant pour me nourrir !

Alors pour y revenir autrement, j’ai trouvé une autre porte d’entrée : le livre de cuisine de la série. Un ouvrage qui propose de revisiter les plats préférés de la famille Shelby — entre cuisine de pub, repas clandestins et grands dîners d’apparat.

Au menu ? 50 recettes inspirées des lieux emblématiques : la chaleur du Garrison, le faste de l’Eden Club, et même l’opulence feutrée d’Arrow House. Un mélange de comfort food britannique et d’inspirations plus élégantes, à déguster pourquoi pas en costume trois-pièces.

Bref, que vous soyez fan des Shelby ou juste gourmand avec un faible pour les ambiances noires et feutrées, ce livre coche toutes les cases : culture pop, cuisine, bel objet, et whisky à portée de main. Et si vous entendez murmurer dans la cuisine « By order of the Peaky Blinders », c’est que la recette a marché.

Une vieille carte scolaire également dans ma wishlist de Noel

On a tous un objet qui nous ramène à la fois en arrière et à l’une de nos passions. Moi, c’est la carte murale. Celle qui trônait dans les salles de classe. Je me souviens encore suivre du le regard le contour d’une frontière ou le trait de rivière. Oui, j’étais le gamin qui fixait le globe plus longtemps que le tableau, et qui trouvait qu’une légende de carte avait un charme certain.

Alors aujourd’hui, géographe de formation, je rêve d’avoir dans mon salon ou ma chambre une carte d’école ancienne, à la fois décorative et affective. Une belle carte en toile ou en papier cartonné, un peu patinée par le temps, qui aurait connu l’odeur de la craie et les débats sur les bassins industriels. Idéalement ? Une carte Vidal-Lablache, ou un modèle édité par Hatier. Pas besoin qu’elle soit parfaite — juste qu’elle ait vécu. Qu’elle fasse le lien avec mes années de fac et croquis de territoires au rotring.

Et dans mes rêves les plus fous, j’aimerais transposer ce style cartographique à d’autres mondes : Westeros, Azeroth, Hyrule ou même l’Empire galactique. Imaginer une carte scolaire façon Vidal-Lablache de Game of Thrones, avec ses régions “agricoles”, ses grands ports, ses axes de circulation commerciale… Ou une carte de World of Warcraft imprimée sur toile, avec flèches rouges, points noirs et légende en haut à droite. Ce serait un bel hommage au pouvoir de la géographie. Nous aider à lire les territoires réels comme les mondes rêvés. Et rappeler qu’une carte, c’est déjà le début d’un voyage.

Un vieux meuble d’artisan : entre tiroirs de mémoire et tiroirs de demain

Il y a quelque chose de profondément rassurant dans les meubles à tiroirs. Une forme d’ordre discret presque ritualisé. Depuis longtemps, je rêve d’un vieux meuble d’artisan, comme ceux qu’on trouvait dans les arrière-boutiques des horlogers, les ateliers de typographes… ou les échoppes de bourreliers.

Car ce genre de meuble, j’en ai vu toute ma vie : il y en a un chez mon père, un autre chez ma mère. Et à chaque fois, c’est un peu de mon grand-père que je retrouve. Il était artisan bourrelier, travaillait le cuir et ses outils dormaient bien rangés dans ce genre de tiroirs : lourds, boisés, solides. Les poignées n’étaient jamais toutes identiques, mais chaque tiroir avait sa logique, sa mémoire.

Voilà ma Wishlist de Noel qui représente une partie de mes envies. Mais la liste est bien sûr non exhaustive et j’aime les surprises et les cadeaux !